Comment contourner la dyslexie, comprendre ce qu’on lit et éviter les fautes d’orthographe ?

Si vous êtes parents d’un enfant dyslexique, ce message vous est destiné et vous intéressera !

Est-ce que vous rêvez de voir votre enfant comprendre ce qu’il lit et lorsqu’il écrit, qu’il puisse être relu à son tour sans difficulté? Qu’il puisse gagner en autonomie et réussir comme les autres élèves ?

Comme moi, vous avez peut-être essayé certaines solutions qui était censées donner des résultats rapides et tangibles. La lampe ou les lunettes pour dyslexique, les lunettes à prisme ou bien la kinésiologie…


J’ai expérimenté certaines solutions mais cela n’a pas fonctionné. Vous aussi, vous avez dû mettre en place des stratégies par vous-même. Il s’agissait, par exemple, de répéter en boucle les leçons et les règles d’orthographe.


Mes parents se sont arrachés les cheveux pour me faire apprendre par cœur maintes notions ou définitions, mais cela n’a pas marché.

Ce n’est pas de votre faute !

Des dizaines de milliers d’autres parents sont dans la même situation que vous. Je m’en suis rendu compte dès que j’ai commencé à participer à des ateliers associatifs alors que j’entrais au collège. J’y présentais et échangeais sur les outils numériques, des solutions de contournement pour dyslexiques. Les parents venaient me poser des questions.


C’est en discutant avec eux que je me suis rendu compte que les parents étaient mal informés dans l’ensemble. Ils ne connaissaient pour la plupart ni les difficultés précises de leur enfant, ni les solutions pour les contourner et encore moins les moyens administratifs de les mettre en place. Même si cela est en train d’évoluer, les solutions pour aider le dyslexique restent encore trop confidentielles…


Si vous n’aviez pas connaissance de ces solutions, ce n’est pas surprenant, sachez que la communication doit être améliorée à l’échelle nationale. Mais je reviendrai plus en détail sur ce point.


Je vous propose de vous concentrer, puis de rester jusqu’au bout de cette présentation, car je vais évoquer les solutions à mettre en place pour aider les dys basées sur mon expérience et celle de bien d’autres personnes dys.

Je me présente : je m’appelle Maxence et je suis le créateur du site culturedys.com, l’un des sites francophones, dédié à la dyslexie, les plus fréquentés.


Il y a quelques années, j’étais exactement à la place de votre enfant.

En effet, je suis dyslexique et dysorthographique sévère.

Dès le CP, j’ai détesté l’école et je ne voulais plus y mettre les pieds. J'ai subi un long processus d’échec.


Cela reste à ce jour la plus grosse épreuve de ma vie. Mais à la fin de ce parcours du combattant… j’ai retrouvé le plaisir d’apprendre.

Aujourd’hui, je suis étudiant dans une grande école !


Dès le début du CP, je n’ai pas réussi à lire et écrire comme mes camarades.

La professeure me disait que j’étais feignant et que je ne faisais pas d’effort. J’avais de plus en plus la boule au ventre avant d’aller en cours. Au lieu d’aller me défouler en récréation, je devais rester sous le préau afin de rattraper les exercices que je n’avais pas réussi à faire durant la classe.


À cela se sont ajoutées beaucoup de moqueries de mes camarades.

Un jour, lors de la récréation, j’appréhendais de remonter en classe par crainte de me faire encore punir. Je m’en souviens comme si c’était hier. Alors, j’étais en train de jouer au football. Puis, je suis passé aux toilettes pour uriner. Mais même en restant plusieurs minutes aux toilettes, je n’y suis pas parvenu… plus tard dans la journée j’ai essayé encore et encore, car cela était désagréable et j’éprouvais un mal de ventre de plus en plus marqué, mais en vain. Le soir mes parents m’ont emmené voir le médecin. Celui-ci m’a suggéré d’essayer d’uriner une dernière fois avant de prendre d’autres dispositions et d’aller à l’hôpital. À ce moment-là, j’ai réussi à uriner comme par magie. La pression de l’école était « redescendue ».


C’est l’anxiété générée par l’école qui me bloquait. Imaginez la dose de stress que je recevais chaque jour. Et en parallèle, la mésestime de moi montait en flèche…


A l’image de beaucoup de dys, je me suis senti si mal durant cette période où j’avais plusieurs années de retard sur la lecture et l’écriture par rapport aux autres élèves de mon âge. A travers cette anecdote on mesure que les symptômes de cette anxiété devenaient physiques et s’exprimaient de manières variées : Je somatisais !


Ce sentiment de mal-être a persisté durant plusieurs années.


Pourtant, dès le CE1, j’avais commencé plusieurs suivis dont une rééducation orthophonique plusieurs fois par semaine, un accompagnement en ergothérapie et un autre avec un pédopsychiatre et une psychologue. Il m’a fallu beaucoup de temps mais cela a fini par m’aider. Durant cette longue période, j’ai continué à collectionner les mauvaises notes et à détester l’école.

Le problème est que la dyslexie est un trouble cognitif, d'origine neurologique.

Les origines neurodévelopementales impliquent que la dyslexie dure toute la vie. Toutefois, on peut en partie compenser une dyslexie même sévère. Cependant :

  • l’automatisation totale et systématique des tâches déficientes comme le déchiffrage et l’accès automatique au stock lexical seront en principe impossible (chaque cas est différent donc gardons-nous de faire trop de généralités).


  • la compensation par suivi spécialisé sera long et demandera beaucoup d’efforts surtout dans le cas d’une dyslexie sévère. La prise en charge s’inscrit sur plusieurs années. Dans mon cas, j’ai été suivi pendant 10 ans en orthophonie. Certaines tâches ne sont toujours pas automatisées et ne le seront probablement jamais.

Attention, l’orthophonie reste indispensable, mais en complément, un contournement à l'aide de différents aménagements et adaptations doivent être mis en place. Vous ne pouvez pas vous contenter d’une prise en charge en orthophonie si le trouble persiste et qu’il pousse votre enfant à l’échec en classe.


Mes parents se sont rapprochés d’autres parents d’enfants ayant le même profil que le mien. Nous avons ainsi appris qu’il existait des moyens de compensation qui nous étaient inconnus et que nous avons pu expérimenter.


J’ai aussi eu l’occasion d’échanger avec des élèves dyslexiques plus âgés qui avaient appris à contourner leurs troubles. Au début, je me demandais comment un dyslexique pouvait continuer à aller à l’école puis ensuite réussir à suivre des études.


Puis j’ai fini par le comprendre tout seul.

La réeducation, ça n'est pas magique ! 🪄

En primaire, j’ai été suivi par une ergothérapeute. Cet épisode ne m’a pas laissé un bon souvenir car cette professionnelle était assez désagréable et peu sérieuse car elle passait la séance de prise en charge au téléphone avec ses amies ou son fiancé. Inutile de vous préciser que malgré mon jeune âge, je me rendais bien compte que ce n’était pas normal. Surtout, que n’étant pas source de ses préoccupations, les séances se résumaient à recopier des pages ce qui m’était très pénible. Au final, ces séances ont généré des frais pour mes parents (les séances d’ergothérapie ne sont pas remboursées par la sécurité sociale) sans apporter un quelconque bénéfice. Par la suite, j’ai eu la chance d’être suivi par un super ergothérapeute qui m’a aidé à progresser.


Mais malgré le suivi en orthophonie, j’avais accumulé une sérieux retard en lecture. Ainsi, lorsque je suis rentré en 6ème, je ne lisais presque pas. Mes parents ont compris que la rééducation allait prendre du temps et qu’il fallait mettre d’autres stratégies en place pour ne pas subir un décrochage scolaire.


Mon premier outil 🔧

À la fin du primaire, j’ai eu l’occasion de tester pour la première fois un logiciel de dictée vocale. Il suffisait de parler dans le micro de mon casque pour que les phrases apparaissent sur l’écran de mon ordinateur. C’était l’un des premiers outils que j’ai utilisé, et qui a totalement changé ma manière de rédiger. Pour la première fois, je pouvais transcrire mes idées telles que je les pensais.

Mon professeur a dit à ma mère qu’il ne pensait pas que j’étais capable d’écrire avec autant d’imagination et de vocabulaire.


Pourtant, cela me paraissait naturel ! Pour la première fois, j’avais à ma disposition un outil qui me permettait de produire un écrit et j’avais enfin la capacité de traduire mes pensées. J’ai alors réalisé que ma dyslexie, très handicapante jusque-là, pouvait être contournée.

Mon constat

Les réunions et ateliers pour dys auxquels j’ai participé m’ont permis de réaliser que les parents étaient peu au fait des solutions pour les dys.

En France, Le manque d’informations sur la dyslexie et sur les solutions de contournement sont prégnants. Adolescent, je ne réalisais pas pourquoi les parents avec lesquels j’échangeais sur ce sujet n’étaient pas informés des solutions possibles. Je ne comprenais pas non plus pourquoi des parents découragés venaient me demander des conseils sur certains sujets que par ailleurs, à l’époque, je ne maitrisais pas.


En réalité, cette situation résultait d’une conjonction de différents problèmes :

  • le manque de formation des enseignants. En effet, les enseignants de l’Education Nationale ne disposent pas d’une formation suffisante sur les troubles dys. Officiellement, on nous annonce un forfait de 25 h de formation regroupant tous les handicaps. Concrètement ce n’est pas mis en place sur tout le territoire et cela paraît encore insuffisant.


  • le manque d’aide administrative et de connaissances des solutions de contournement. Souvent, les orthophonistes se retrouvent en première ligne, avec une multitude d’autres problèmatiques à gérer. Il leur manque du temps et des moyens pour conseiller les parents sur ces sujets spécifiques. Ils mettent la priorité sur le cœur de leur métier. Certains orthophonistes se sont formés pour accompagner l’élève/patient à l’utilisation du numérique. Pourtant cette part de l’accompagnement est le plus souvent dévolue à l’ergothérapeute.


  • le caractère bénévole des associations, qui malgré leur multitude d’activités, ont un levier d’actions limité vis-à-vis du nombre de familles en difficulté.

En résumé, l’Education Nationale, qui accueille et éduque les élèves dès leur enfance, ne forme pas suffisamment les enseignants. Dans nombre de cas, la prise en charge des enfants atypiques se révèle être déficiente malgré une école dites « inclusive ».

Quant aux associations de parents et aux professionnels de santé, ils manquent de moyens, financier et humain, pour aider la totalité des familles concernées toujours plus nombreuses ces dernières années. Il s’agit d’un problème profond et généralisé à l’échelle nationale. On diagnostique plus et mieux pourtant !

Le déclic💥

Aujourd’hui, grâce :


  • aux échanges, avec de nombreux professionnels, et d’autres dys qui ont réussi à contourner leurs troubles


  • à mes multiples lectures de livres spécialisés, d’études scientifiques.

Je comprends pourquoi j’ai eu un déclic qui a favorisé la découverte d’outils (notamment numériques), des méthodes d’apprentissage et des stratégies pour aménager l’espace de travail qui me convenait. Parvenir à combiner tous ces outils pour agir à différents niveaux de compensation.

Une fois que la machine était lancée, la progression a été fulgurante.


En quelque mois, je suis devenu autonome dans de nombreuses matières. Au point que mon AVS (Assistante de Vie Scolaire, aujourd’hui AESH) n’avait plus besoin d’être présente en classe avec moi.


Les professeurs aussi ont été les premiers surpris. Les appréciations du type « Maxence n’arrive pas à exprimer son potentiel » ou « enfant intelligent, mais écrit limité » ont laissé place à des observations comme « élève brillant » ou « belle progression de Maxence au fur et à mesure des semestres. Félicitations ! ».


En fait, le cancre et l’élève malheureux que j’étais, incapable d’exprimer ses idées qui étaient prisonnières de mon cerveau, ont laissé place à un élève curieux, dynamique qui aime apprendre. De fait, à partir de ce moment-là, j’étais parmi les meilleurs élèves de la classe. Un immense changement s’est produit entre la période où les autres élèves se moquaient de moi et celle où ils me demandaient de leur expliquer les cours ou de leur envoyer mes prises de notes. Ce déclic s’est produit lorsque je me suis mis à utiliser en simultané tous ces outils.

Que disent les médecins et les scientifiques ?

Même si la France a beaucoup de retard dans la compréhension et la prise en charge des élèves dys dans le cadre scolaire, notamment face à certains pays comme le Canada, les spécialistes et les chercheurs français connaissent et étudient les troubles dys depuis de nombreuses années.

Parmi ceux-ci, on peut compter :


- Alain Pouhet : médecin MPR (spécialité médicale qui prend en charge les personnes en situation de handicap) et formateur en neuropsychologie infantile. Il est l’auteur de nombreux ouvrages sur les troubles dys,


- Stanislas Dehaene : Titulaire de la chaire de psychologie cognitive expérimentale (neuropsychologie), professeur au collège de France, membre de l’Académie des Sciences, président du conseil scientifique de l'Éducation Nationale.


- Michèle Mazeau : médecin de rééducation infantile spécialisée dans la neuropsychologie infantile dys et les troubles des apprentissages.


Ces trois scientifiques ou médecins, auteurs de nombreux ouvrages sur les troubles dys, préconisent l’utilisation d’outils numériques pour compenser la dyslexie et les troubles dys. A l’évidence, cette compensation doit être réalisée en parallèle d’une rééducation orthophonique.


C’est à la lecture de leurs travaux que j’ai compris pourquoi, quelques années auparavant, j’avais connu un déclic aussi puissant.


Alain Pouhet indique qu’il existe trois processus pour aboutir aux apprentissages :


1. La rééducation ou la remédiation

2. L’adaptation de l’environnement

3. Le palliatif et le contournement

Alain Pouhet précise que «les adaptations pédagogiques peuvent permettre aux élèves dys de saisir plus efficacement les informations d’apprendre plus vite, de mieux retenir… ». De plus, il indique que lors « des situations dys », la rééducation qui tend vers une « guérison » (même si elle est en principe impossible) est longue et laisse l’élève en situation d’échec. Elle est souvent insuffisante : « il ne faut pas que l’attente de progrès suffisant fasse le lit d’un échec scolaire ». Il ajoute que «ces trois types d’aides se combinent ». Il faut donc aussi mettre en place une adaptation de l’environnement et des solutions de contournement, ce qui est permis aujourd’hui par une multitude d’outils à utiliser en fonction des besoins.


Le docteur Mazeau explique également dans un ouvrage paru en juillet 2020 qu’«en ne palliant pas le handicap de l’enfant, en n’adaptant pas (ou insuffisamment) la tâche non automatisée (non automatisable), on génère un échec scolaire induit, débordant largement son trouble dys ». Elle recommande, de même, la mise en place d’outils spécifiques et notamment informatiques : «la plupart des outils numériques donnent une plus grande autonomie à l’élève ».


Stanislas Dehaene, quant à lui, a mené de nombreuses recherches sur les outils informatiques. Il en a d’ailleurs fait une présentation devant des états généraux du numérique. Après avoir étudié certains de ces logiciels dans son laboratoire, il en a tiré plusieurs conclusions :

« un certain nombre de logiciels qui sont fondés sur une progression pédagogique explicite, qui sont en accord avec les sciences cognitives et qui ont commencé à faire leurs preuves dans des expérimentations randomisées contrôler »,

«ces logiciels sont particulièrement intéressants pour les enfants en difficulté »,

«on dispose en France d’un certain nombre de ressources qui ont été testées ».


Il pense comme ses confrères que les outils informatiques peuvent constituer une véritable aide pour les dyslexiques et les dys en général…à condition qu’ils soient testés et qu’ils répondent à un besoin.

Statistiques sur l’utilisation des outils numériques

Une étude ayant été réalisée dans le cadre d’une thèse en science de l’éducation montre des statistiques sur l’utilisation des outils numériques pour les élèves dys.

Aujourd’hui, l’impact des outils numériques et pédagogiques est étudié par les chercheurs. Ils permettent de contourner la dyslexie et les troubles dys, notamment pour les difficultés d’écriture, de lecture, d’organisation, etc…

Réussir en autonomie comme les autres élèves

En fait, contourner les troubles cognitifs tels que la dyslexie permet dans un premier temps de pouvoir comprendre ce qu’on lit et d’éviter de subir la situation de double tâche décrite par le Dr Alain Pouhet. C’est-à-dire, qu’il est impossible de réaliser simultanément une tâche de bas niveau (qui peut être déficiente chez les dys) comme la lecture ou l’écriture et une tâche de haut niveau (ex : le calcul, le raisonnement, la réflexion).


En maths, c’est la capacité à calculer qui est évaluée et pas la capacité à lire et comprendre en même temps la consigne. Pourtant cette étape de lecture pose un vrai problème aux dyslexiques. L’objectif des outils que je vous proposerai est de ne pas se retrouver dans cette situation de double tâche et d’exploiter le plein potentiel de réflexion de votre enfant.

Alors, le bénéfice est double.


Il est permis à l’élève de prendre conscience qu’il est capable de réussir comme les autres sans l’aide d’un adulte. Au final, cela va soulager pas mal les parents 😉 !


De plus, le bénéfice direct est que votre enfant sera moins fatigué et plus efficace.

Petit à petit, grâce aux outils, le processus de reprise de confiance en lui va s’enclencher. Ainsi, le regard de votre enfant sur lui-même et celui des autres à son égard va littéralement changer.


La confiance va permettre l’autonomie ...

J'ai créé ma propre solution

C’est pour cette raison que j’ai travaillé ces dernières années sur un programme de synthèse des outils qui permettent aux dyslexiques de réussir aussi bien que les autres pour n’importe quel âge.


J’ai appelé cette solution « les outils de réussite pour dyslexiques».


Je vais vous transmettre les outils qui permettent aux dyslexiques de ne plus subir les apprentissages et de retrouver le goût d’apprendre.


Après des jours passés en recherches, lectures d’études, de livres spécialisés, de consultations de professionnels, d’expérimentations, j’ai réalisé plus de 4 heures de vidéo intense. J’y décortique l’ensemble des outils qui peuvent changer la vie et la scolarité du dyslexique.


Vous y trouverez l’intégralité des outils permettant une meilleure concentration sur le sens du texte, la diminution de la fatigabilité, l’amélioration de la prise de notes, des productions écrites et la réduction des fautes d'orthographe.


Mais vous y trouverez aussi des outils de planification tout en optimisant l’espace et les supports de travail de vos enfants.


Un concentré de conseils solides, sans bla-bla !

Bien entendu, la plupart de ces outils ont été sélectionnés pour être utilisés en classe et durant les examens si vous le souhaitez. Ils ne nécessitent pas de compétences techniques avancées.


En prime, vous bénéficierez d’un bonus gratuit 🎁: un guide d’explications sur les procédures administratives et les conseils pour la mise en place des outils numériques en classe.

Voici entre autres ce que vous découvrirez dans ce programme :

🎲 Des ressources pour apprendre différemment (jeux, images, entrainements ludiques…)


💻 Les 4 grands types de logiciel indispensables au dyslexique + tuto


⌛ Des solutions pour poser le cadre spatio-temporel, favoriser la confiance en soi et l’autonomie


📚 Comment accéder aux ressources pédagogiques de manière simple, économique et adaptée


🔑 2 solutions clé en main pour gérer ses cours de manière centralisée


🖱️ Le matériel ergonomique adapté aux besoins spécifiques


📱 Les applications et extensions qui simplifient la vie du dyslexique


⚡ La clé pour gagner du temps et de l’énergie lorsque l'on travaille avec l’informatique


💼 Tous mes secrets pour adapter au mieux l’espace de travail de votre enfant


💡 Des trucs et astuces des dys qui ont réussi leurs études malgré leur handicap


📇 Les cartes mentales (mind-map) de chaque module pour retrouver les outils en 1 clic


🎁 En bonus, un guide pratique et complet sur la mise en place des outils numériques de l’élémentaire jusqu’au lycée


Et bien plus encore…

D’autres personnes ont déjà suivi le programme et peuvent témoigner de son efficacité pour les dys.

Voici certains témoignages que j’ai reçu. Parmi les nombreuses personnes à l’avoir testé et approuvé, figurent des parents, des professeurs des écoles, des orthophonistes, des orthopédagogues.

Dominique, orthophoniste :

Eugénie, ancienne institutrice et mère d’enfant dys :

Ludivyn, maman d’un jeune multidys (dyslexique, dysorthographique et dysphasique) de 11 ans :

Véronique, professeur des écoles elle meme dyslexique :

⬇️ Bonus gratuit ⬇️

Comment mettre en place les outils numériques pour l'élève Dys à l'école ? 🎁

Comment faire appliquer vos outils en classe ?


Je vous offre un petit manuel qui vous permettra de faire appliquer les outils en classe grâce à des aménagements officiels.


PAP, PPS, équipe éducative ? Ces notions ne sont pas claires pour vous ?


Pas de problèmes, je décortique le chemin à suivre pour utiliser les outils à l’école, au collège et au lycée.

Tout ce que vous devez faire pour avoir un accès instantané et à vie à ce programme est de cliquer sur « je réserve ma place » et remplir le bon de commande sécurisé.

Ma garantie de passage à l’action

Je suis convaincu qu’en utilisant et en mettant en place les outils que je vous préconise, vous obtiendrez des résultats et que certaines des difficultés de votre enfant pourront être contournées.


Si cela ne fonctionne pas, alors que vous avez mis en place ces outils, je m’engage à vous rembourser le programme en intégralité. Comme ça vous ne prenez aucun risque !

J’entends tellement de parents me dire « je regrette de ne pas avoir mis en place plus tôt les outils numériques ».


Plus tôt les outils sont mis en place, plus tôt les dys pourront se les approprier et plus ils seront efficaces.


Pour récapituler, vous bénéficierez du programme « les outils de réussite pour dyslexiques » et d’un bonus gratuit qui vous guideront dans la mise en place des outils. Le tout avec ma garantie de passage à l’action qui vous permet d’être remboursé si vous n’obtenez pas de résultat.


Pour cela, il vous suffit de cliquer sur « je réserve ma place » et de remplir le bon de commande sécurisé.

Ce programme est segmenté en un plan d’action de 16 modules :

FAQ

Est-ce que la méthode est applicable si mon enfant n’utilise pas encore l’ordinateur ?

Oui, tôt ou tard, s’il souhaite continuer ses études, il va en utiliser un. Il peut déjà le faire à la maison et tous les outils du programme ne sont pas informatiques (même si cela représente la majorité).

Est-ce que la méthode est applicable aux autres dys (dyscalculiques, dysphasiques, etc)…et pour les non dys ?

Chaque outil que j’ai choisi a un rapport à la dyslexie/dysorthographie. Cependant, ils peuvent être utilisés par des non dys, ce qui ne peut leur être que bénéfique. L’intégralité des outils peut être utilisée par des autres dys, hormis de très rares exceptions. Il faut raisonner en termes de besoin.

Que se passe-t-il une fois que j’ai rejoint le programme ?

Vous recevrez le lien de connexion à votre espace membre sur votre email. Vous aurez accès à un espace sécurisé où vous pourrez retrouver les vidéos, les fiches récapitulatives et votre bonus pour toujours.

Peut-on te poser des questions pour avoir de l’aide ?

Bien entendu, je répondrai à vos questions. N’hésitez pas à me contacter par email (contact@culturedys.com) ou sur les réseaux sociaux.

Le programme peut-il faire l’objet d’un remboursement ?

Je suis convaincu qu’en utilisant et en mettant en place les outils que je vous préconise, vous obtiendrez des résultats et que certaines des difficultés de votre enfant pourront être contournées.

Si cela ne fonctionne pas, alors que vous avez mis en place ces outils, je m’engage à vous rembourser le programme en intégralité. Comme ça vous ne prenez aucun risque !

Quels investissements nécessitent ce programme ?

Le programme vous demandera 4h 30 de visionnage au total avec une attention soutenue sur toute la durée. Sachant que l'enregistrement permet de faire des poses autant que de besoin, ce temps devrait être allongé. D'autant, que les vidéos sont denses et riches en informations. L'ensemble est découpé en 16 modules ce qui vous laisse le temps d'organiser votre visionnage selon vos propres critères. En termes d'investissement, suivre le programme, vous offre la possibilité de choisir vos outils et de comprendre leur fonctionnement en quelques minutes. Évidemment, si votre enfant est encore un peu trop jeune, il est nécessaire de faire vous-même la démarche d'apprentissage pour faire le lien et lui transmettre ensuite. Mais vous pouvez bien entendu visionner ce programme avec votre enfant dans ce cas, alors veillez à découper en séquence assez courtes pour qu'il puisse maintenir son attention.

Réalisé avec